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Un problème de Thyroïde ? Quel traitement adopter ?

Dernière mise à jour : 1 oct. 2023


Le Dr Jean-Pierre WILLEM est un puit de science et une référence en matière de médecine naturelle...

Ses conseils sont toujours bienveillants concrets et très avisés.

Il fait partie de ces médecins qui considéraient leurs patients avec empathie. Pas uniquement des porteurs de cartes vitales, comme ils sont formés aujourd’hui, dans leurs facultés de médecines sponsorisées par BIG PHARMA...

Regardez bien aujourd’hui la télé médecine... !

Les médecins n’auscultent plus...vous n'êtes plus un patient mais plutôt considéré comme un grand symptôme !

- Vous avez de la fièvre ? Non ? Alors vous n’êtes pas malade, monsieur ! Prenez donc un doliprane et ça va passer...Si ça s'aggrave appelez le 15...Votre carte vitale SVP !!!


Forcément c’est une caricature, car j’ai connu de bons médecins et des mauvais. Alors c’est aussi à vous de faire le bon choix, un choix éclairé.

Sachez cependant, que les bancs de la fac sont pleins de pseudo praticiens bienveillants qui sont arrivés en médecine pour faire du fric aux heures de bureau...

Mais c’est un choix personnel d’être un bon médecin ou pas...

Alors je vais vous présenter un médecin hors norme car ce n’est pas l’ordre des médecins qui crédibilisent les médecins, et nous l’avons vu pendant l’épidémie du COVID...

A tous ces médecins qui ont le courage d’affronter l’ordre pour faire valoir leurs convictions sans conflit d’intérêt...Un grand merci à eux, que je ne citerais pas pour ne pas en oublier mais ils se reconnaitront...


Mais qui est le Dr Jean-Pierre Willem ?


Jean-Pierre Willem, né le 24 mai 1938 à Villers-Cernay (Ardennes), est un ancien médecin et chirurgien itinérant ayant accompli des missions dans diverses zones de conflits en Afrique, au Moyen-Orient et en Asie, de 1960 à 1980.

Radié de l'Ordre des médecins en 1987, il s'est fait le promoteur de méthodes thérapeutiques alternatives.

Il a fondé l'ONG humanitaire internationale Médecins aux pieds nus (MAPN) en 1987 et la Faculté libre de médecines naturelles et d'ethnomédecine (FLMM) en 1986.

Il est l'auteur de quelque 45 ouvrages rapportant ses missions de médecin de guerre ou vantant l'ethnomédecine et les remèdes naturels.

Issu d'un milieu catholique, Jean-Pierre Willem fait toute sa scolarité secondaire au petit séminaire de Reims. Il entame ensuite des études de médecine à la Faculté de médecine de Lille. Il est reçu major à l'internat de médecine.

Activités humanitaires

Il déclare avoir mené de nombreuses missions humanitaires auprès des victimes de catastrophes et de conflits, en commençant, en 1959, par l'Algérie en pleine guerre d'indépendance.

En 1964, il rejoint comme assistant le Dr Albert Schweitzer à Lambaréné (Gabon).

Il est ensuite médecin coopérant au Rwanda (1966-1967), médecin des orphelins et des réfugiés au Viêt Nam et au Cambodge (1968-1975), médecin chef sur le chantier du Transgabonais (1976-1977), auprès des réfugiés laotiens dans le Triangle d'or (Asie Sud-Est) (1977), auprès des victimes de la famine au Zaïre (1979) et à l'hôpital d'indigents de Kinshasa (1981), chirurgien au Liban (1976, 1978, 1983), sur le front Iran-Irak (1982), en Somalie (1984) et, plus récemment, en Syrie (2014).

Au hasard de ses missions, il croise des figures connues : outre Albert Schweitzer, aussi Che Guevara, l'abbé Pierre, Mère Teresa.

L'expérience acquise lors de ses séjours dans les pays en voie de développement le convainc que le manque de médecins professionnels peut être compensé en faisant appel aux guérisseurs indigènes utilisant les plantes locales pour soigner et que l'Occident lui-même peut bénéficier de leurs connaissances.

En 1987, Jean-Pierre Willem est radié de l'Ordre des médecins, ce qui lui interdit l'exercice de la médecine. Il déclare en faire peu de cas, arguant qu'il n'a jamais demandé son inscription au registre de cet ordre. Il poursuit dès lors des activités d'enseignement dans le cadre de la Faculté libre de médecines naturelles et d'ethnomédecine (FLMM) qu'il a créée à Paris en 1986.


Activités dans les médecines alternatives

Au sein de cette faculté établie dans le XVe arrondissement de Paris, il forme le tout venant à la médecine naturelle et à l’ethnomédecine. En matière de soins, il se réfère surtout à l’homéopathie, la phytothérapie, l’oligothérapie et l'aromathérapie.

Il dénonce une médecine devenue de plus en plus intrusive.

En 2021, il se définit comme médecin, chirurgien et anthropologue



A suivre donc, un article écrit par le Dr Willem sur le Fameux Levothyrox que je vous laisse apprécier....



Un mauvais remède de plus !

Haro sur le Levothyrox.

« Après Mediator de Servier qui a mis plusieurs années avant d’être interrompu, le patron du labo Merck a des cheveux blancs à se faire.

Ces comprimés de la thyroïde, prescrits à 3 millions de per­sonnes en France souffrant au niveau de cette glande située à l’avant du cou et qui régule notre organisme, ont entraîné une vague d’effets secondaires chez quelque 31 000 patientes. En cause, sa nouvelle recette changeant certains de ses excipients afin d’apporter davantage de sta­bilité au produit. Maux de tête, vertiges, perte de cheveux... Les plaintes sont telles qu’une pétition a recueilli plus de 350 000 signatures pour réclamer l’ancienne pilule. Cette mise en examen est une bonne nouvelle pour tou­tes les femmes que l’on a pri­ses pour des hystériques. C’est ça, à l’époque, qui m’a le plus choquée », déclare Anny Duperey qui s’est beaucoup mobilisée pour faire entendre la voix des personnes victimes d’effets secondaires. Cette décision mon­tre aussi que les puissants laboratoires ne sont pas tota­lement intouchables.

Après l’intervention de diverses autorités judiciaires, il reste à analyser les réalités de cet imbroglio.

Dans mes diverses Newsletters j’ai beaucoup évoqué l’inefficacité de ce produit prescrit à 3 millions de personnes, en majorité des femmes. Levothyrox devient aussi célèbre que le Mediator.

Pour diagnostiquer une dysthyroïdie, on procède à 4 analyses : la TSH (Thyroid Stimulating Hormon) l’hormone thyroïdienne qui régule la sécrétion de deux hormones thyroïdiennes à savoir la T3 (Triiodothyronine) et la T4 (tétra-iodothyronine).

Lorsque la thyroïde ne fabrique pas suffisamment d’hormones, l’hypophyse produit davantage de TSH pour la stimuler. Le dosage de la TSH serait le test le plus sensible pour affirmer la qualité de la fonction thyroïdienne. La problématique du dosage normal de la TSH permet-elle d’éliminer un dysfonctionnement thyroïdien ? L’interrogatoire reste le temps clef de l’examen.

Reste l’iodurie (l’iode dans l’urine), ce test (non remboursé par la sécu) n’est jamais demandé par les endocrinologues et pourtant ce minéral est essentiel. En cas de carence en iode, la thyroïde s’adapte. En présence d’une carence sévère ou prolongée, les mécanismes d’adaptation ne suf­fisent plus et la synthèse en hormones thyroïdiennes s’écroule, ce qui entraîne une stimulation de la TSH et une augmentation du volume de la glande thyroïde sous forme de goitre.

En France, la consommation se situe entre 80 et 120 μg par jour. Ce qui est insuffisant.

En 1950, pour enrayer ce problème de santé publique (à savoir la carence en iode), l’Etat français avait préconisé l’adjonction d’iode dans le sel de consommation courante, soit 10 à 15 μg d’iode par gramme de sel. Mais la contrepartie de ce supplément de sel indus­triel générera un autre fléau social : l’hypertension artérielle. On est au cœur d’un cercle vicieux !


Les maladies auto-immunes

La découverte d’une hypothyroïdie ou hyperthyroïdie ne s’arrête pas au traitement de cette dysthyroïdie. Cette glande peut se transformer en maladie auto-immune. Les auto-anticorps, responsables de l’auto-immunité, sont dirigés contre les propres constituants de l’individu, c’est ainsi que l’hypothyroïdie mute en maladie d’Hashimoto, l’hyperthyroïdie en maladie de Basedow.


1. Les auto-anticorps anti-TPO (antithyroperoxydase). Comme les an­ticorps anti-microsomes thyroïdiens, ils bloquent la thyroperoxydase, une enzyme nécessaire à la fabrication des hormones. Ils sont présents à 90 % dans la maladie d’Hashimoto.


2. Les auto-anticorps antithyroglobuline se fixent sur la thyroglobu­line et empêchent son fonctionnement correct. Ils sont présents à 70 % dans la thyroïdite d’Hashimoto.


3. Les auto-anticorps antirécepteurs de la TSH se fixent sur le récep­teur cellulaire de l’hormone hypophysaire responsable de la stimu­lation glandulaire normale. Prenant sa place, ils activent le récepteur et induisent une fabrication anormalement excessive d’hormones (maladie de Basedow).


Plus rarement, ce sont des auto-anticorps «blo­quant» le récepteur. Ils sont alors responsables d’une hypothyroïdie, présents dans 25 % des cas.

Au cours de la maladie, la glande thyroïde est à la fois l’organe de production de ces auto-anticorps et l’organe cible qui est attaqué par ces derniers. C’est ainsi qu’une thyroïdectomie chirurgicale entraîne leur disparition, mais à quel prix (traitement substitutif = prise à vie de Levothyrox). Par ici les petits sous !


L'hormone T3, seule active

Il faut savoir que le Levothyrox stimule essentiellement l’hormone T4, celle-ci étant peu active. Seule la T3 l’est. Pour la rendre active et devenir T3, il faut la présence de différents facteurs (zinc, manganèse, sélénium vitamines B1, B2, B6, E) et un bon état des organes fonctionnels (foie, surrénales, intestin et son microbiote). Ne pas oublier la prise d’un tranquillisant, dès lors que tout trouble de la thyroïde est dû à un stress majeur ou répétitif.


Son effet nocebo


Avec la première formule du Levothyrox, les patients souffraient déjà d’effets secondaires mais s’y étaient accoutumés. Il s’agissait d’une sorte de mithridatisation acquise progressivement. Mais après le changement de la formule, tous les effets secondaires se sont pour ainsi dire « réveillés ». C’est l’effet « nocebo », à l’inverse du placebo (substance inactive substitué à un médicament de façon à distinguer l’action psychologique et l’action pharmacologique de celui-ci).

Plusieurs patients ont détaillé les symptômes qu’ils ont ressentis après la prise de la nouvelle formule. Insomnies, douleurs musculaires, vertiges, maux de têtes, névralgies, douleurs articulaires, perte de cheveux, problèmes intestinaux...

Des désagréments qui ont conduit certains patients à retourner à l’ancienne formule du Levothyrox.


Cette L. Thyroxine n’étant pas efficace, les patients doivent augmenter la posologie pour atteindre un début d’efficacité.


Prenant en considération les souffrances endurées par 30% de Français (une majorité de femmes) je me devais d’écrire un livre pour rectifier le tir et restaurer la confiance et le retour à une meilleure santé.


Dans ce livre, je donne des protocoles pour l’ensemble des dysthyroïdies où figurent diverses approches thérapeutiques.

Un protocole + L’homéopathie, la gemmothérapie et les huiles essentielles.


Les endocrinologues qui ont lu ce livre et appliqué ces formules, ont été tancés vertement et sommer de retourner auprès de leur incontournable Levothyrox. »


Nous sommes tous capable de nous faire une idée précise sur les enjeux financiers de tels médicaments pour que certains médecins soient radiés pour avoir prôné une approche différente.

« Il ne manquerait plus, que ça fasse boule de neige ! »

Et si les labos faisaient faillite !! Ça fait du bien de rêver !!


Peu importe ça donne à réfléchir...Prenez soin de vous, au naturel...

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